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Métallisation des pistes

Les qualités recherchées pour le métal des pistes sont :

Le choix de CMS s'est donc porté sur une couche de 0,6 $\mu m$ d'or (40 $\Omega cm^{-1}$). Une fine couche de Nickel-Chrome assure l'adhésion des pistes sur substrat. Mais ce choix n'empêche pas la détérioration des pistes (figure [*]) lors de fortes décharges (paragraphe [*]).

Figure: Photographie au microscope électronique des pistes d'une MSGC avant une décharge.
\psfig {file=/afs/cern.ch/user/s/smoreau/scratch0/smoreau/these/images/photo4.ps,scale=0.4}
Figure: Photographie au microscope électronique du bord d'une cathode après une décharge.
\psfig {file=/afs/cern.ch/user/s/smoreau/scratch0/smoreau/these/images/photo3.ps,scale=0.4}

Pour limiter ces décharges, une première solution consiste à modifier les lignes de champ près des pistes grâce à une nouvelle géométrie, principalement aux extrémités et au bord des pistes [MAC97]. On peut aussi déposer une fine couche protectrice de matériau diélectrique, cette technique est appelée passivation.

Une autre solution réside dans l'utilisation d'une grille de préamplification (GEM) placée entre le substrat et le plan de dérive. Cette GEM a été introduite par F. Sauli et son équipe du CERN en 1997.


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Stephanie Moreau
2003-04-09