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Principe

Pour l'identification des particules et la mesure de leur énergie, on utilisera sur le LHC deux types de détecteurs :

De manière générale, la structure d'un ensemble de détection autour du point d'interaction est la suivante de l'intérieur vers l'extérieur : un premier ensemble de détecteur de reconstruction de traces puis des calorimètres et enfin un deuxième ensemble de détecteur de reconstruction de traces. Chaque particule laisse une signature différente dans cet ensemble de détection (figure [*]). Les plus probables et les plus importantes sont :

Figure: Signatures de particules dans les différentes parties d'un détecteur des hautes énergies classique.
\begin{figure}
%\centering\epsfig{file=/afs/cern.ch/user/s/smoreau/scratch0/smo...
...ser/s/smoreau/scratch0/smoreau/these/images/decay_chart.ps,scale=1} \end{figure}

Relativement peu de neutrons sont produits dans les collisions proton proton mais leur flux provenant des interactions des particules dans le calorimètre électromagnétique n'est pas négligeable. Ils ne laissent pas de traces dans les détecteurs de traces mais peuvent induire un signal indirect par activation des matériaux.

Quatre expériences, construites sur le modèle précédent, ont été approuvées pour fonctionner auprès du LHC :

L'expérience CMS (Compact Muon Solenoid) qui est le cadre de cette thèse est décrite plus en détail ci-dessous.


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Stephanie Moreau
2003-04-09